• Miles est né à Hawkins. C'était un habitant comme un autre, avec des rêves de grandeur, comme beaucoup d'autres. Pourtant, sans vraiment y croire lui même, il a en effet réussit à se démarquer. Une voix en or, des paroles plutôt bien pensées, un look qui plaît, le jeune garçon de Hawkins a réussit à s'élever rapidement au rang de jeune artiste prometteur puis de célébrité montante.
• Les salles de concert, la télé, les magazines, dès ses 19 ans Miles a atteint le rêve que beaucoup d'autres jeunes de son âge rêvaient d'atteindre : Il est devenu célèbre. Rien à voir avec les monuments de la musique de son époque et de la décennie précédente, mais il était bien partit pour laisser sa trace avec ses jolies balades qui semblait toucher les gens de sa génération au plus profond du cœur. Il était devenu le bourreau de ces dames et l'exemple à suivre pour ces messieurs si ils voulaient charmer leurs aimées. Un petit trésor de la musique que sa maison de disque à voulu médiatiser... trop médiatiser... ce qui déclencha le début de la fin.
• Le burn out, purement et simplement. On mettait tant d'espoir sur son nom qu'on l'a trop poussé Miles. On l'a jeté sur les plateaux télé, jeté sous les projecteurs et passé un millions de micros devant son nez afin de décortiquer toute sa vie. Chaque parcelle de son existence a été passé au crible, tant est si bien qu'il n'avait plus rien de secret et plus aucune liberté dans ce qu'il pouvait faire, dire ou montrer. Au final le rêve s'est transformé en cauchemar, ayant l'impression de n'être plus qu'un objet aux yeux de ses agents tandis que la foule le déshumanisait pour lui donner le statut de figure mythique qui l'a très franchement terrifié. Alors les angoisses, l’anxiété et le début de la folie, enfermé dans une spirale infernale dont il n'arrivait à se tirer et bientôt accompagné de visions atroce d'un monde mort. Alors il s'est consumé, brûlé jusqu'au plus profond de son âme et finissant par tout lâcher avant d'y perdre la vie, retournant se réfugier à Hawkins dans l'espoir que le monde s'arrête et que son esprit arrive à retrouver sa sanité. Et c'était il y a un an de ça.
• Miles est lié à l'Upside Down. Presque tous les soirs maintenant son sommeil est sans repos, plongé dans un cauchemar qui n'en est pas un. Il vois l'Upside Down comme ci il s'y trouvait, ce qui est un fait en soit, se retrouvant projeté astralement, y ayant même une présence physique, le tout sans qu'il ne s'en rende compte. Il ne comprend pas, il est persuadé que ce sont des conséquences de son burn out, qu'il devient juste fou, ces visions, bien que présente depuis toujours en soit mais rare à l'origine, s'étant amplifiée à mesure qu'il approchait du point de rupture. Et pour ne rien arranger, depuis quelques temps avant la fin de sa carrière, il a commencé à faire des rêves éveillés, lui arrivant de juste marcher et de se retrouver là bas comme prisonnier, incapable d'en sortir volontairement. Il a beau hurler rien n'y fait, devant attendre que la vision s'arrête, se retrouvant alors où il a avancé sans savoir ce qui s'est passé autours de lui dans le monde réelle. Une preuve supplémentaire de sa folie à ses yeux, des raisons pour lesquelles il doit se terrer jusqu'à ce que tout revienne à la normale. En réalité c'est simplement une autre forme de projection astrale, son corps restant dans le monde réel, semi conscient, mais son esprit prenant corps là bas. Et bien qu'il ait tout arrêté, toutes ces visions semblent s'amplifier.
• Il a rejoint un groupe, chose tout bonnement absurde étant donné ses angoisses. Et en effet, chaque fois qu'ils doivent se représenter quelque part en ville, même dans un bar avec cinq personnes, il angoisse. Mais il se force... par amour de la musique, par envie d'aller mieux, même si il a plusieurs fois tout gâché à cause de crises d'angoisse. Puis il ne sait pas, il se sent lié aux membres de son groupe d'un manière très spéciale, même si il n'a pas encore su mettre le doigt sur pourquoi si ce n'est un qu'il sait qu'il voit souvent en rêve.
• Miles fait 1m95, ce qui est quand même plutôt grand, il faut le dire. Il a une allure de gentil géant, chose amusante il le conçoit, mais qui a surtout beaucoup compliqué sa vie quand il l'a atteint. Au final rien n'est jamais à sa taille, que ce soit ses vêtements, les meubles ou les maisons. C'est un peu comme ci sa vie lui rappelait à quel point, depuis toujours, il était inadapté à la vie. Bref, une taille assez peu commune mais bien embêtante, surtout quand on veut passer inaperçue.
• Parfois il rit à des choses que personne ne comprend à part lui même, trouvant ça pourtant évident à ses yeux.
• La légende raconte qu'il aurait fait un photoshoot pour un magazine qui était... fort révélateur, bien que restant dans les limites de la décence. Cette légende est vraie. Un magazine un peu osé n'avait de cesse que de le solliciter pour une interview et des photos, bien sûr sans jamais de réponse. Mais au moment d'un craquage mentale Miles a juste dit ok, comme dans une volonté de saboter sa carrière. Le magasine a choqué, forçant son label à tout faire pour le faire disparaître. Mais au final ça a aussi fait rêver, plus encore une fois que le numéro en question est devenu presque introuvable, augmentant sa notoriété d'une manière imprévu. Aujourd'hui cependant rares sont les quelques élus à encore posséder un exemplaire.
• Il nourrit une véritable passion pour les bananes dont il se nourrit allégrement. C'est bête à dire, mais c'est un fait. Il aime juste bien trop ce fruit et toute cuisine à base de ce dernier.
• Il a un truc avec les poissons et les aquarium, ça l'apaise. Il est triste qu'il n'y ait pas d'aquarium en ville alors à défaut sa maison est pleine d'aquarium en tout genre remplit de poissons différents.